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{{table|titre= Quand la décadence d’un empire commence, rien ne l’arrête |indentation= -1 |page= {{pli|120|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Comment la désorganisation s’introduit dans un empire, |indentation= -1 |page= {{pli|121|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Dans les premiers temps d’un empire, ses frontières ont toute l’étendue qu’elles sont capables de prendre, ensuite elles se rétrécissent graduellement jusqu’à ce que l’empire soit réduit à rien et s’anéantisse |indentation= -1 |page= {{pli|127|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Comment se forment les empires |indentation= -1 |page= {{pli|131|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Ce n’est qu’à la longue qu’un empire qui commence fait la conquête d’un empire déjà établi; il n’y réussit pas (tout d’abord) par la force des armes. |indentation= -1 |page= {{pli|133|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Quand un empire est dans la dernière période de son existence, la population est très-nombreuse et les famines, ainsi que les grandes mortalités, sont fréquentes. |indentation= -1 |page= {{pli|138|8}} |largeurp= 40 }}
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{{table|titre= Sur le Fatémide (qui doit paraître vers la fin du monde). — Diverses opinions qu’on professe à son sujet. — La vérité sur cette matière mise au jour |indentation= -1 |page= {{pli|158|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Sur les prédictions qui concernent les dynasties et les nations. — Dans ce chapitre l’auteur parle des ''melahim'' (recueils de prédictions), et fait connaître ce que l’on entend par le mot ''djefr'' |indentation= -1 |page= {{pli|205|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
<div style="margin-left:1em; padding-right:40px; text-indent:-1em;">[[Les Prolégomènes/4|QUATRIÈME SECTION.]] Sur les villages, les villes, les cités et autres lieux où se trouvent des populations sédentaires. — Sur les circonstances qui s’y présentent. — Observations préliminaires et supplémentaires.</div>
 
{{table|titre= La fondation des empires précède celle des villes et des cités. — La royauté s’établit d’abord et la cité ensuite |indentation= -1 |page= {{pli|238|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
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{{table|titre= Les édifices et les grandes constructions élevées par les musulmans sont loin d’être en rapport avec la grandeur de ce peuple, et restent bien au-dessous des bâtiments laissés par les nations précédentes |indentation= -1 |page= {{pli|273|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= La plupart des édifices bâtis par les Arabes tombent promptement en ruine |indentation= -1 |page= {{pli|274|8}} |largeurp= 40 }}
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{{table|titre= Si certaines villes et métropoles surpassent les autres en activité commerciale et par le bien-être dont on y jouit, cela tient à ce qu’elles les surpassent aussi par leur population |indentation= -1 |page= {{pli|277|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Sur le prix (des denrées et des marchandises) dans les villes |indentation= -1 |page= {{pli|282|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Les gens de la campagne ne sont pas assez riches pour habiter les villes qui possèdent une nombreuse population .|indentation= -1 |page= {{pli|286|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Les gens de la campagne ne sont pas assez riches pour habiter les villes qui possèdent une nombreuse population |indentation= -1 |page= {{pli|286|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Les différences qui existent entre un pays et un autre, sous le rapport de la pauvreté ou du bien-être, proviennent des mêmes causes qui établissent des différences semblables entre les villes |indentation= -1 |page= {{pli|287|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Comment un grand nombre de maisons et de fermes se trouvent dans la possession de quelques habitants des villes. — Avantages qu’ils peuvent en retirer. |indentation= -1 |page= {{pli|291|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Dans les grondes villes, les hommes riches ont besoin de protecteurs ou doivent être dans une position qui les fasse respecter |indentation= -1 |page= {{pli|293|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Les grandes villes doivent aux dynasties qui y ont régné leur portion de cette civilisation qui se développe dans la vie sédentaire. |indentation= -1 |page= {{pli|294|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= LesLa grandes villes doivent aux dynasties qui y ont régné leur portioncivilisation de cette civilisation qui se développe dans la vie sédentaire. Plusmarque cesle dynastiesplus onthaut eudegré dedu duréeprogrès etauquel deun force,peuple pluspeut cette civilisation est forte et persistanteatteindre. |indentation= -1 |page= {{pli|294300|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= La civilisation de la vie sédentaire marque le plus haut degré du progrès auquel un peuple peut atteindre; c’est le point culminant de l’existence de ce peuple, et le signe qui en annonce la décadence |indentation= -1 |page= {{pli|300|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Toute ville qui est le siège d’un empire tombe en ruine lors de la chute de cet empire |indentation= -1 |page= {{pli|307|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Certaines villes se distinguent par la culture de certains arts |indentation= -1 |page= {{pli|312|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= L’esprit de corps peut exister dans les villes; quelques-uns d’entre les habitants dominent alors sur le reste |indentation= -1 |page= {{pli|313|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Sur les dialectes (arabes) parlés dans les villes. |indentation= -1 |page= {{pli|316|8}} |largeurp= 40 }}
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<div style="margin-left:1em; padding-right:40px; text-indent:-1em;">[[Les Prolégomènes/5|CINQUIÈME SECTION.]] Sur les moyens de se procurer la subsistance, sur l’acquisition, les arts et tout ce qui s’y rattache. Examen des questions auxquelles ce sujet donne lieu.</div>
 
{{table|titre= De la véritable signification des termes bénéfice (''rizc'') et acquisition (''kesb''). On prouve que celle-ci est le prix du travail de l’homme |indentation= -1 |page= {{pli|319|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Sur les voies et moyens divers de gagner sa vie (''ma-ach'') |indentation= -1 |page= {{pli|323|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Travailler au service d’un maître est un moyen de gagner sa vie qui n’est pas conforme à la nature |indentation= -1 |page= {{pli|326|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= La recherche des trésors et des dépôts enfouis n’est pas un moyen naturel de gagner sa vie et de s’enrichir |indentation= -1 |page= {{pli|328|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= La haute considération est une source de richesses |indentation= -1 |page= {{pli|336|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Ce sont ordinairement les gens qui savent s’abaisser et faire leur cour qui réussissent dans le monde. |indentation= -1 |page= {{pli|338|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= CeLes sontpersonnes ordinairementchargées lesde gensfonctions qui saventse s’abaisserrattachent et faire leur cour qui réussissent dans le monde et qui font fortune. La servilité età la flatteriereligion, doiventparviennent compterrarement parmi les moyens deà parvenirs’enrichir |indentation= -1 |page= {{pli|338346|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Les personnes chargées de fonctions qui se rattachent à la religion, les cadis, par exemple, les muftis, les instituteurs, les imams, les prédicateurs et les moueddins parviennent rarement à s’enrichir |indentation= -1 |page= {{pli|346|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Les hommes de peu de considération et les campagnards besoigneux sont les seuls qui adoptent l’agriculture comme un moyen de se procurer la subsistance |indentation= -1 |page= {{pli|347|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Sur le commerce, sa signification, ses procédés et ses divers genres |indentation= -1 |page= {{pli|348|8}} |largeurp= 40 }}
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{{table|titre= Le vil prix d’une marchandise nuit aux intérêts de ceux qui, par métier, s’occupent de cette (espèce de marchandise) dépréciée |indentation= -1 |page= {{pli|352|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Quels sont les hommes qui peuvent s’adonner au commerce avec avantage, et ceux qui doivent s’en abstenir |indentation= -1 |page= {{pli|354|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Le caractère moral des négociants est inférieur à celui des personnages qui exercent de hauts commandements, et s’éloigne de celui qui distingue l’homme de cœur. |indentation= -1 |page= {{pli|355|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Pour apprendre un art quelconque, il faut avoir un maître |indentation= -1 |page= {{pli|357|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Les arts se perfectionnent dans une ville à mesure du progrès de la civilisation et de l’accroissement de la population |indentation= -1 |page= {{pli|358|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= La stabilité et la durée des arts, dans une ville, dépendent de la stabilité et de l’ancienneté de la civilisation dans cette ville |indentation= -1 |page= {{pli|360|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= L’amélioration des arts et leur extension dépendent du nombre des personnes qui en recherchent les produits |indentation= -1 |page= {{pli|363|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= La décadence d’une ville entraîne celle des arts qu’on y cultive |indentation= -1 |page= {{pli|364|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Les Arabes sont le peuple du monde qui a le moins de disposition pour les arts |indentation= -1 |page= {{pli|365|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Celui qui possède la faculté d’exercer un certain art parvient très-rarement à en acquérir parfaitement un autre |indentation= -1 |page= {{pli|366|8}} |largeurp= 40 }}
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{{table|titre= De l’art de la médecine. — Il est nécessaire aux peuples sédentaires et aux habitants des villes, mais il est inutile aux peuples nomades |indentation= -1 |page= {{pli|386|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= L’art d’écrire est un de ceux qui appartiennent à l’espèce humaine |indentation= -1 |page= {{pli|391|8}} |largeurp= 40 }}
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{{table|titre= De la réflexion |indentation= -1 |page= {{pli|426|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= L’intellect ne peut embrasser toute la catégorie des choses sans l’aide de la réflexion |indentation= -1 |page= {{pli|428|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= De l’intelligence expérimentale et de la manière dont elle se produit |indentation= -1 |page= {{pli|430|8}} |largeurp= 40 }}
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{{table|titre= Sur les connaissances acquises par les prophètes |indentation= -1 |page= {{pli|436|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= L’homme est ignorant par sa nature ; ce qu’il sait consiste en connaissances acquises |indentation= -1 |page= {{pli|438|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= L’enseignement fait partie des arts |indentation= -1 |page= {{pli|439|8}} |largeurp= 40 }}
 
{{table|titre= Les connaissances (ou sciences) ne se multiplient que dans les villes où la civilisation et les usages de la vie sédentaire ont fait de grands progrès |indentation= -1 |page= {{pli|448|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Sur les diverses sciences qui, de nos jours, existent dans la civilisation (musulmane) |indentation= -1 |page= {{pli|450|8}} |largeurp= 40 }}
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{{table|titre= Des sciences qui ont pour objet les traditions |indentation= -1 |page= {{pli|463|8}} |largeurp= 40 }}
 
 
{{table|titre= Note sur les termes techniques employés dans la science des traditions |indentation= -1 |page= {{corr|491|{{pli|481|8}}}} |largeurp= 40 }}