« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Croix » : différence entre les versions

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VI<sup>e</sup> siècle, et encore, à dater de cette époque jusqu'au XII<sup>e</sup>
siècle, ces images
sont-elles fort rares (voy. CRUCIFIX[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 4, Crucifix|Crucifix]]). Nous n'avons à nous occuper, dans
cet article, que des croix qui tiennent à l'architecture, qui sont attachées
à des monuments, ou qui constituent elles-mêmes de petits monuments
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On sait comme l'ordre de Cîteaux était opposé, dans les églises qu'il
bâtissait pendant le XII<sup>e</sup> siècle et au commencement du XIII<sup>e</sup>, aux sculptures
prodiguées dans les édifices de l'ordre de Cluny (voy. ARCHITECTURE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture monastique|Architecture Monastique]]). Les tympans des portes des églises de l'ordre fondé par
MONASTIQUE). Les tympans des portes des églises de l'ordre fondé par
saint-Bernard ne sont habituellement décorés que d'une simple croix
en bas-relief. Nous donnons (8) celle que
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d'apôtres qui, à la Sainte-Chapelle
du Palais à Paris, portent des croix
de consécration (voy. APÔTRE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Apôtres|Apôtres]]). Sur
les piliers qui forment tête des chapelles
de la cathédrale de Troyes,
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reliques étaient habituellement déposées
dans la boule qui leur servait
de base, ou dans le coq qui les surmontait (voy. COQ[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 4, Coq|Coq]]). Le système
d'assemblage de ces croix d'amortissement mérite d'être étudié avec soin
par les constructeurs; car ces pièces de fer,