« Page:Clausewitz - Théorie de la grande guerre, III.djvu/134 » : différence entre les versions
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Bien que la France fût moins encore une monarchie véritable qu’une confédération composée de duchés et de comtés, et que, déjà plus unie mais troublée à l’intérieur, l’Angleterre ne comptât pareillement dans ses armées que des contingents féodaux, les guerres des Anglais contre les Français sont les premières que l’on rencontre dans l’histoire de cette époque. |
Bien que la France fût moins encore une monarchie véritable qu’une confédération composée de duchés et de comtés, et que, déjà plus unie mais troublée à l’intérieur, l’Angleterre ne comptât pareillement dans ses armées que des contingents féodaux, les guerres des Anglais contre les Français sont les premières que l’on rencontre dans l’histoire de cette époque. |
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Sous {{roi|louis|XI}} la France fit le plus grand pas vers son unité ; sous {{roi|charles|VIII}} elle apparaît comme puissance conquérante en Italie ; sous {{roi|louis|XIV}}, enfin, son État et son armée permanente atteignent le plus haut degré de perfection. |
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L’unité de l’Espagne commence sous Ferdinand le Catholique ; par des alliances matrimoniales inattendues, Charles-Quint réunit tout à coup sous son sceptre l’Espagne, la Bourgogne, l’Allemagne et l’Italie. Cette |
L’unité de l’Espagne commence sous Ferdinand le Catholique ; par des alliances matrimoniales inattendues, Charles-Quint réunit tout à coup sous son sceptre l’Espagne, la Bourgogne, l’Allemagne et l’Italie. Cette |