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« Gerson, dit-il, est un des premiers qui, en la seconde partie de ses œuvres au traité |
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''De contract.'' (prop. XIX), dit que les rentes qui peuvent |
''De contract.'' (prop. XIX), dit que les rentes qui peuvent se vendre à perpétuité, peuvent pareillement se vendre pour un temps limité, tant à l’égard du vendeur que de l`acheteur, pourvu que la |
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se |
même matière se trouve dans le contrat à perpétuité, et dans celui qui se fait pour un temps. » Voilà ce qu’ils font dire à Gerson, n’ayant pour |
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limité, tant à l’égard du vendeur que de l`acheteur, pourvu que la |
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même matière se trouve dans le contrat à perpétuité. et dans celui qui |
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se fait pour un temps.» Voilà ce qu’ils font dire à Gerson , n’ayant pour |
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le prouver que ces paroles qu’ils rapportent, mais qui n’ont, en aucune |
le prouver que ces paroles qu’ils rapportent, mais qui n’ont, en aucune |
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sorte |
sorte, le sens qu’ils y donnent : « Omnis contractus quo licite |
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« venduntur vel emuntur reditus perpetui . potest similiter esse licitus, |
« venduntur vel emuntur reditus perpetui . potest similiter esse licitus, |
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au si eodem contractu similiter se habente, detur facultas mutua redimendi |
au si eodem contractu similiter se habente, detur facultas mutua redimendi |