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DES ARCHITECTES FRANÇAIS

DES ARCHITECTES FRANÇAIS.

I I

sont près de l’entrée. En 13<)6 il travaillait autour du grand autel de l’église de l’abbaye de Saint-Bertin : on lui doit aussi trois des coûtes du cloître de ce monastère. (Dtisevcl, Kech. Iris !.}

LARUELLE iClaide). — V. LA 11IRE.

LA RUELLE Giii.i.aime de’. Dans un procès-verbal d’estimation d’un hôtel appelé la « Maison des Lions », sis à Paris, « en la rue Saint-Paul, et ayant issue en l’hostel de la Cour de la Reine », lequel hôtel était donné par François 1er à Amé de Regno, son premier huissier, La Ruelle est qualifié de « général maistre des œuvres de maçonnerie du Roy ». Il est en outre mentionné ainsi qu’il suit dans une pièce manuscrite du XVIe siècle : « Toisé fait des dits ouvrages, de l’ordonnance du dit sieur de ’illeroy, par Guillaume de La Ruelle, maitre des œuv res de maçonnerie du dit sieur (le roi’, et Louis Poireau, maçon-juré d’iceluy sieur ». L. Poireau était le « substitut » de La Ruelle ; il est ainsi qualifié dans un acte de i âge rapporté par Sauvai. Dans cet acte, il figure comme u Garde de la voieric et chemins royaux ». ’Sauvai, t. III et IV. — De Laborde, Not. des Emaux.)

L’ASSURANCE (C a h.i.eteai’, dit) débuta par travailler comme dessinateur chez J.-H. Mansartet R. de Cotte1. i. Saint-Simon, dans ses Mémoires (chap. XI), le cite iï l’occasion de la mort d’Hardouin Mansart. Après avoir prononcé l’oraison funèbre de ce dernier, qu’il n’aimait pas, il faut le dire, il ajoute : " Il cstoit II. Mansart) ignorant dans son métier. De Cotte, son beau-frère, qu’il fit premier architecte, n’en savait pas plus que lui ; ils tiroient leurs plans, leurs dessins, leurs lumières, d’un dessinateur en batiments nommé L’Assurance, qu’ils tenoient tant qu’ils pouvoient sous clef. »