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Borély, le château du même nom. En 1767, l’édifice commençait
Borély, le château du même nom. En 1767, l’édifice commençait
à s’élever lorsque Clérisseau. à son retour d’Italie, s’arrêta
à s’élever lorsque Clérisseau, à son retour d’Italie, s’arrêta
en Provence et lit, sur la demande des propriétaires de ce
en Provence et fit, sur la demande des propriétaires de ce
château, un projet de façade. (2e dessin existe encore et ne fait
château, un projet de façade. Ce dessin existe encore et ne fait
pas regretter que l’édifice ait été achevé par l’artiste qui l’avait
pas regretter que l’édifice ait été achevé par l’artiste qui l’avait
commencé. (Lagrange, ''Gaz. des Beaux-Arts'', t VI.)
commencé. (Lagrange, ''Gaz. des Beaux-Arts'', t {{rom-maj|VI|6}}.)




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BRUNEL, architecte du maréchal d’Albret, fut chargé,
BRUNEL, architecte du maréchal d’Albret, fut chargé,
en 1677, avec son confrère Coussarel, de refaire à l’abbaye de
en 1677, avec son confrère Coussarel, de refaire à l’abbaye de
Bassac.Charente’) la deuxième voûte de la grande chapelle.
Bassac (Charente) la deuxième voûte de la grande chapelle.
(L’abbé Michon, ''Statist. de la Chareute''.)
(L’abbé Michon, ''Statist. de la Charente''.)






BRUNEL (Pierre), maitre des œuvres royaux de la
BRUNEL ({{sc|Pierre}}), maitre des œuvres royaux de la
sénéchaussée de Beaucaire et Nîmes, occupa cette charge sous
sénéchaussée de Beaucaire et Nîmes, occupa cette charge sous
les rois Jean et Charles V. Il est considéré comme l’architecte
les rois Jean et Charles {{rom-maj|V|5}}. Il est considéré comme l’architecte
des fortifications de Villeneuve-lez-Avignon et des constructions
des fortifications de Villeneuve-lez-Avignon et des constructions
militaires élevées vers la même époque dans le Bas-Languedoc <ref>Brunel devait être Parisien. Des lettres patentes de Charles V.
militaires élevées vers la même époque dans le Bas-Languedoc{{lié}}<ref>Brunel devait être Parisien. Des lettres patentes de Charles {{rom-maj|V|5}},
confirmant cet artiste dans la charge d’architecte du roi, qu il tenait
confirmant cet artiste dans la charge d’architecte du roi, qu’il tenait
du roi Jean, ordonnaient aux agents des comptes d’avoir à payer ou
du roi Jean, ordonnaient aux agents des comptes d’avoir à payer ou
ù faire paver audit maître Pierre « les susdits droits, en la manière et
à faire payer audit maître Pierre « les susdits droits, en la manière et
aux époques accoutumées », et que « les payements ''lui soient faits à''
aux époques accoutumées », et que « les payements ''lui soient faits à''
''Paris'' sans difficulté aucune ». Ces lettres sont datées du 18 juin 1364.</ref>.
''Paris'' sans difficulté aucune ». Ces lettres sont datées du 18 juin 1364.</ref>.
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BRUNET-DEBAINES (Charles-Louis-Fortuné),
BRUNET-DEBAINES ({{sc|Charles-Louis-Fortuné}}),
élève de Vaudoyer père et de Lebas, né à Vannes
élève de Vaudoyer père et de Lebas, né à Vannes
(Morbihan) le 10 décembre 1801, mort à Paris le 25 avril
(Morbihan) le 10 décembre 1801, mort à Paris le 25 avril
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