« Page:Gouraud - Dieu et patrie, paru dans La Croix, 1897.djvu/57 » : différence entre les versions
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page validée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
j’aurais subi, sans que vous le sachiez, les |
j’aurais subi, sans que vous le sachiez, les |
||
conséquences de ma distraction, en restant |
conséquences de ma distraction, en restant |
||
sur vos rochers, sans l’extrême insistance |
|||
de votre bonne. J’aurais passé une partie de |
de votre bonne. J’aurais passé une partie de |
||
la nuit sous vos fenêtres, comme jadis le faisaient |
la nuit sous vos fenêtres, comme jadis le faisaient |
||
Ligne 8 : | Ligne 8 : | ||
On s’était rangé pour faire place au nouveau |
On s’était rangé pour faire place au nouveau |
||
venu ; de très bon cœur, la servante |
venu ; de très bon cœur, la servante |
||
avait remis un couvert. Elle était allée chercher |
|||
un peu de viande froide destinée au |
un peu de viande froide destinée au |
||
lendemain, et la douairière, honteuse de sa |
lendemain, et la douairière, honteuse de sa |