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pathie p-thle. La musique esl f-il- pour égayer, dlslr-lrc, non pour obliger à réfléchir. Danses et chansous, disait l- foute, cl Wegucr répuud-lt par « -cllun dremailquc >. P-« une d* scs iuleutluu» n’-veil été saisi*, si bien quc lcs ch-uteurs, malgré les commeu’airct doul leur tcxtc élell surchargé per I tauteur, jouèrent loul « cn dehors > afin de nc pe» perdre tout à fait le couiect -vec le public. Il eurelt fallu un livret complel pour expliquer les uuaucet d’âme au travers des quelles le musicien préleudell guider ses audlleurt. Il eurelt fallu leur moulrer que le musique dc chenl cl celle dc l’or chestre, la décl-m-liuo, l’-clion, les décors, le. costumes, enfin la tragédie sous loulet ses formes d’cxpretslon n’csl cn ré-llté qu’un seul mouvement, un ensemble cumpect dont aucun fragment ne sc peul isoler. Cc n’csl pet seulemenl uu* esthétique, mais une éthique nouvelle, un* «uburdlu-tlun de l’individu à l- collectivité, la soumission des lul-rprèle, au créal-ur, cl à vrai dire unc greudlos* el sévère leçon d’humilité entelgneul l’homme à t’ofT-ccr devenl l’œuvre. Mais loul ccle élelt encor* trop neuf, donc invisible W-gner dul eulever cert-lus passages pour lot rcprés-nlellou» sulvanles, r-buler ct polir lot plu. bo-ux nœuds dc son bols. Il l- fit sans felblestc, chcrch-nt à préserver quand mCm* le slruclure dc »e cherpcnlc. El c’csi beaucoup d’annêcs plu« terd scu|’m'nl qu* cel ouvragc, ’nllè^m’M repris cl développé, reçut sa forme définitive. Mais la tcmeluc consacrée à cet premiers remenlemenlt ct eux études qu’elle ontr-in- fui pour lui unc torture, cl revêt dans «ou hlsiuir* une imporlauc* c-pil-le. Ce n’éiaii pas simple b|’ssurc d’emour-pr°pre cc’lc fo*., melt cr^ll- décep1|on lu1ellectac|le’ Il venait dc conslelor quc lc public n’élell pas cucore mûr ; quc son -ri, ses leud-nccs, toute sa pensée d* réfurm-1our «’b1--0..-11 à un spcc’-ieur idê.l ; qu’il f-u_ dr-ii peut-êlre des années pour obtenir dc cct bourgeois hcuroux un* «m.tton qu| le« rfudii cepeNes d’-nti-voir qu* |- J juulss-uco d’un* œuvre d’arl suppose dent l’hommc un lulé- ’ profond pour le sens dc «e dcsllnéc. Or, cc spoct-lour idéal, || -||-it dovculr nécessaire d* le créer, si l* pruphèle n* d-v-li pas périr avanl qu* le dieu doul il était le messager n °ût éuuucé «a lo|. L- rtform* qu’il fallut -U1-•-prfnd-■f « êt’Dda|1 dunc b|eD au deJà d*a pl-uche« d* l’O^r. K.y-1
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