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{{Ancre|2Jean}}{{T2|LA DEUXIÈME ÉPÎTRE DE JEAN}} |
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{{SansAlinéa|insiste sur trois points : que l’amour doit être gouverné par la vérité ; quiconque ne demeure pas dans la doctrine de Christ n’a pas Dieu, et que celui qui apporte une doctrine, contraire à Christ, ne doit pas être reçu dans la maison, ni même salué. Une femme chrétienne était compétente pour cela.}} |
{{SansAlinéa|insiste sur trois points : que l’amour doit être gouverné par la vérité ; quiconque ne demeure pas dans la doctrine de Christ n’a pas Dieu, et que celui qui apporte une doctrine, contraire à Christ, ne doit pas être reçu dans la maison, ni même salué. Une femme chrétienne était compétente pour cela.}} |
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{{T2|LA TROISIÈME ÉPÎTRE DE JEAN,}} |
{{Ancre|3Jean}}{{T2|LA TROISIÈME ÉPÎTRE DE JEAN,}} |
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{{SansAlinéa|en revanche, insiste sur le devoir de bien accueillir ceux qui vont prêcher la vérité : l’épître reprend et condamne l’opposition sectaire d’une autorité locale et loue Gaïus, comme coopérant avec la vérité elle même.}} |
{{SansAlinéa|en revanche, insiste sur le devoir de bien accueillir ceux qui vont prêcher la vérité : l’épître reprend et condamne l’opposition sectaire d’une autorité locale et loue Gaïus, comme coopérant avec la vérité elle même.}} |