« Page:Dumas - Le Vicomte de Bragelonne, 1876.djvu/440 » : différence entre les versions
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<section begin=s1/>amant, ce qui est impossible, vous vous déclariez son plus cher ami et son plus humble serviteur. |
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— Ainsi ferai-je, répondit Fouquet, et ce sera sans répugnance ; cette enfant me semble pleine de cœur. |
— Ainsi ferai-je, répondit Fouquet, et ce sera sans répugnance ; cette enfant me semble pleine de cœur. |
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Puis il ajouta après un instant de silence : |
Puis il ajouta après un instant de silence : |
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— Ou je me trompe, ou cette petite fille sera la grande passion du roi. Remontons en voiture, et ventre à terre jusqu’au château.<section end=s1/> |
— Ou je me trompe, ou cette petite fille sera la grande passion du roi. Remontons en voiture, et ventre à terre jusqu’au château. |
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La Vallière haussa les épaules. |
La Vallière haussa les épaules. |
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— Décidément, Monsieur, dit-elle, vous parlez par énigmes, et je suis trop ignorante, à ce qu’il paraît, pour vous comprendre. |
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— Soit, dit Fouquet, je n’insisterai pas. Seulement, dites-moi, je vous en supplie, que je puis compter sur votre pardon plein et entier. |
— Soit, dit Fouquet, je n’insisterai pas. Seulement, dites-moi, je vous en supplie, que je puis compter sur votre pardon plein et entier. |
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| Ligne 93 : | Ligne 93 : | ||
— Je vous crois, dit-elle. |
— Je vous crois, dit-elle. |
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Fouquet prit vivement ! a main que lui tendait la jeune fille. |
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— Alors, ajoula-t-il, vous ne verrez aucune difficulté, n’est-ce pas, à me rendre cette malheureuse lettre ? |
— Alors, ajoula-t-il, vous ne verrez aucune difficulté, n’est-ce pas, à me rendre cette malheureuse lettre ? |
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| Ligne 103 : | Ligne 103 : | ||
Même naïveté de physionomie, même candeur de visage. |
Même naïveté de physionomie, même candeur de visage. |
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— Allons, Mademoiselle, dit-il, après cette dénégation,<section end=s2/> |
— Allons, Mademoiselle, dit-il, après cette dénégation,<section end="s2"/> |
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