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— Te couches-tu, ma chère ? demanda-t-elle. Tu devrais te mettre au lit de suite. |
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2 $6 Antoinette |
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—Te couchçs-tu, ma chère ? demanda-t-elle. Tu devrais te mettre au lit de suite. |
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—Je dois tout d’abord te dire, Lucille, que je retourne à Valmont demain.
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— Je dois tout d’abord te dire, Lucille, que je retourne à Valmont demain. |
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—Hein ! et pourquoi ? Aurais-tu par hasard reçu des lettres de rappel ?
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— Hein ! et pourquoi ? Aurais-tu par hasard reçu des lettres de rappel ? |
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—Non, mais j’ai décidé de m’en retourner. |
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—C’est incroyable. Mais, au moins, quel motif, quelle raison as-tu ? |
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— Non, mais j’ai décidé de m’en retourner. |
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—J’ai le cœur triste et malade, Lucille, et j’ai besoin d’un repos absolu. |
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—Tu es malade,mon enfant ! j’ai lieu de le craindre. — Tu parais être malheureuse depuis quelque temps » et deux ou trois personnes l’ont remarqué ce soir. Ah I ma pauvre cousine ! j’ai peur que tu ne sois bien misérable. Et elle examinait la physionomie d’Antoinette qui portait en effet l’empreinte d’une grande douleur , —Oui, je suis bien malheureuse. . |
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— C’est incroyable. Mais, au moins, quel motif, quelle raison as-tu ? |
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—Et je ne dois pas t’en demander la cause : je suppose que c’est en grande partie ce vilain Stemfield. |
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—Je vais te le dire en un seul mot Tu étais présente lorsque ces paroles sacrées ont été prononcées : “ Que l’homme ne sépare jamais ce que Dieu a uni ! ” Comprends-tu maintenant, Lucille ? Le triste passé ne peut pas être changé, il est irrévocable ! |
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— J’ai le cœur triste et malade, Lucille, et j’ai besoin d’un repos absolu. |
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—Hélas ! le regrettes-tu réellement à ce point ? Je crois que tu dois me détester en même temps, quoique à vrai dire, j’aie agi pour le mieux. |
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— Tu es malade, mon enfant ! j’ai lieu de le craindre. — Tu parais être malheureuse depuis quelque temps et deux ou trois personnes l’ont remarqué ce soir. Ah ! ma pauvre cousine ! j’ai peur que tu ne sois bien misérable. Et elle examinait la physionomie d’Antoinette qui portait en effet l’empreinte d’une grande douleur |
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— Oui, je suis bien malheureuse. |
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— Et je ne dois pas t’en demander la cause : je suppose que c’est en grande partie ce vilain Sternfield. |
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— Je vais te le dire en un seul mot . Tu étais présente lorsque ces paroles sacrées ont été prononcées : « Que l’homme ne sépare jamais ce que Dieu a uni ! » Comprends-tu maintenant, Lucille ? Le triste passé ne peut pas être changé, il est irrévocable ! |
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— Hélas ! le regrettes-tu réellement à ce point ? Je crois que tu dois me détester en même temps, quoique à vrai dire, j’aie agi pour le mieux. |