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que considérait la ''Syntaxe'', ce fluide qui n’opposait aucune résistance |
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au mouvement des astres. |
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autres ; seulement, Ptolémée n’imposera plus à chacune de ces |
autres ; seulement, Ptolémée n’imposera plus à chacune de ces |
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surfaces la condition d’être concentrique à la Terre. |
surfaces la condition d’être concentrique à la Terre. |
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Chacun de ces corps solides sera animé, par lui-même, d’une |
Chacun de ces corps solides sera animé, par lui-même, d’une |
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rotation uniforme en vertu de laquelle il glissera librement sur la |
rotation uniforme en vertu de laquelle il glissera librement sur la |
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car les pôles autour desquels tourne une de ces masses demeureront |
car les pôles autour desquels tourne une de ces masses demeureront |
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fixement attachés à la masse enveloppante et prendront part |
fixement attachés à la masse enveloppante et prendront part |
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au mouvement de cette sphère. « Pour les sphères que nous construirons |
au mouvement de cette sphère. « Pour les sphères que nous construirons{{lié}}<ref>{{sc|Ptolémée}}, ''Op, laud''., éd. cit., p. 114.</ref>, |
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le mouvement sphérique [le mouvement de |
le mouvement sphérique [le mouvement de rotation], |
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possède nécessairement deux points qui touchent la sphère et |
possède nécessairement deux points qui touchent la sphère et |
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qu’on nomme les |
qu’on nomme les pôles… Notre théorie s’appuie donc sur la supposition, |
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faite également par Aristote, que les pôles de la sphère |
faite également par Aristote, que les pôles de la sphère |
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enveloppée sont fixement liés à la sphère enveloppante. » |
enveloppée sont fixement liés à la sphère enveloppante. » |
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Comment, entre deux sphères célestes, une telle liaison se peut-elle |
Comment, entre deux sphères célestes, une telle liaison se peut-elle |
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concevoir ? La réponse à cette question soulève de grandes |
concevoir ? La réponse à cette question soulève de grandes |
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difficultés. Ces difficultés, Ptolémée ne les dissimule pas, bien au |
difficultés. Ces difficultés, Ptolémée ne les dissimule pas, bien au |
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contraire. « Bref, dit- |
contraire. « Bref, dit-il{{lié}}<ref>{{sc|Ptolémée}}, ''Op, laud''., éd. cit., pp. 115-117.</ref>, s’il est difficile de comprendre que les |
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mouvements célestes n’aient pas lieu autour de pôles fixes, j’estime, |
mouvements célestes n’aient pas lieu autour de pôles fixes, j’estime, |
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cependant, qu’il est encore plus difficile de concevoir de quelle |
cependant, qu’il est encore plus difficile de concevoir de quelle |
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sorte sont ces pôles ; de deux sphères ainsi reliées l’une à l’autre, |
sorte sont ces pôles ; de deux sphères ainsi reliées l’une à l’autre, |
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il est difficile d’imaginer |
[il est difficile d’imaginer] comment la surface de la sphère extérieure |
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est attachée à de tels pôles, comment la sphère enveloppée |
est attachée à de tels pôles, comment la sphère enveloppée |
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est retenue par eux ; [il est difficile de saisir] la raison de la liaison |
est retenue par eux ; [il est difficile de saisir] la raison de la liaison |
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que les pôles ont avec chacune des deux sphères. |
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» Admettons-nous, en effet, que ces pôles sont de simples |
» Admettons-nous, en effet, que ces pôles sont de simples |
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points ? Alors, nous attachons des corps à des choses qui ne sont |
points ? Alors, nous attachons des corps à des choses qui ne sont |
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toutes à des conséquences également inconcevables, que l’Astronome |
toutes à des conséquences également inconcevables, que l’Astronome |
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de Péluse énumère avec complaisance. « Ici encore, nous |
de Péluse énumère avec complaisance. « Ici encore, nous |
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i, Ptolémee, Op, bitid., é<L cil., p, |
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2* Ptijtémée, (>/>- faW.j éd> cil., pp. i i5-i 17, |