« Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 2.djvu/342 » : différence entre les versions

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Je suis fort aise que la maladie du pauvre Grignan ait été si courte ; je l’embrasse et lui souhaite toutes sortes de biens et de bonheurs, aussi bien qu’à sa chère moitié, que j’aime plus que moi-même ; du moins je le sens mille fois davantage. Notre abbé est à vous ; la Mousse attend cette lettre que vous composez.
Je suis fort aise que la maladie du pauvre Grignan ait été si courte ; je l’embrasse et lui souhaite toutes sortes de biens et de bonheurs, aussi bien qu’à sa chère moitié, que j’aime plus que moi-même ; du moins je le sens mille fois davantage. Notre abbé est à vous ; la Mousse attend cette lettre que vous composez.

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