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Oster la poësie : et plus il me tansoit. |
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Plus à faire des vers la fureur me poussoit. |
Plus à faire des vers la fureur me poussoit. |
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(Bl., VI, 189 à 192.) |
{{intervalle|15.0em}}(Bl., VI, 189 à 192.) |
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Mais logiquement cette conversation entre le |
Mais logiquement cette conversation entre le père et le fils dut être |
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antérieure à la maladie qui rendit Ronsard à moitié sourd, puisque les |
antérieure à la maladie qui rendit Ronsard à moitié sourd, puisque les |
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professions que le père préconise au fils, le barreau, la médecine, l’armée, |
professions que le père préconise au fils, le barreau, la médecine, l’armée, |
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d’une réprobation et interdiction spéciales. |
d’une réprobation et interdiction spéciales. |
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P. 10, l. 23. — ''chez le Roy''. Ici « le Roy » n’est pas distingué du |
P. 10, l. 23. — ''{{ancre|P10_L23|{{lia|Discours de la Vie de P. de Ronsard, par Cl. Binet|P10_L23|chez le Roy|68}}}}''. Ici « le Roy » n’est pas distingué du |
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« Roy » dont il est question dans tout le passage précédent. La confusion |
« Roy » dont il est question dans tout le passage précédent. La confusion |
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continue entre François |
continue entre François{{lié}}{{Ier}} et {{lié|Henri II}}, d’autant plus que ces mots |
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peuvent désigner ici aussi bien le roi régnant que l’héritier présomptif |
peuvent désigner ici aussi bien le roi régnant que l’héritier présomptif |
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de la couronne, Loys de Ronsart étant à la fois « mansionnaire » de |
de la couronne, Loys de Ronsart étant à la fois « mansionnaire » de |
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François |
François{{lié}}{{Ier}} et « maître d’hostel » du dauphin. Voir ci-dessus, p. 61, |
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aux mots « ''du Roy'' ». |
aux mots « ''du Roy'' ». |
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