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Calme plat dans toutes les ambulances ; on s’attend à de prochains combats sur la frontière, peut-être même à l’investissement ; cet investissement possible est devenu la marotte du {{Gal|Thévenet}} et lui inspire toutes ces mesures d’évacuation de civils et de blessés. |
Calme plat dans toutes les ambulances ; on s’attend à de prochains combats sur la frontière, peut-être même à l’investissement ; cet investissement possible est devenu la marotte du {{Gal|Thévenet}} et lui inspire toutes ces mesures d’évacuation de civils et de blessés. |
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<u>2 heures</u>. Je vais aux Anges avec {{Mme|de {{sic2|N.|Nanteuil}}}} ; on nous donne quelques détails sur les soins à l’ |
<u>2 heures</u>. Je vais aux Anges avec {{Mme|de {{sic2|N.|Nanteuil}}}} ; on nous donne quelques détails sur les soins à l’{{corr|hopital|hôpital}}. La gangrène y a été apportée par des blessés venant de Mulhouse : on ne leur avait fait aucun pansement depuis celui du champ de bataille. Ce n’est pas étonnant qu’il en soit mort beaucoup ; on fait des masses d’amputations, dont un certain nombre qu’on aurait pu éviter, mais les médecins ont été affolés par le nombre des blessés et l’état dans lequel on leur amenait. |
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<u>4 heures</u> ; le {{Dr|Ihler}} apporte son appareil et nous photographie dans le jardin avec les malades levés. |
<u>4 heures</u> ; le {{Dr|Ihler}} apporte son appareil et nous photographie dans le jardin avec les malades levés. |