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Dans les longues et atroces journées dont s’est composé tout ce mois, j’ai lu et relu bien souvent tes chères lettres de février. Mon cœur a saigné des angoisses que tu as subies durant ce long mois, dont |
Dans les longues et atroces journées dont s’est composé tout ce mois, j’ai lu et relu bien souvent tes chères lettres de février. Mon cœur a saigné des angoisses que tu as subies durant ce long mois, dont |
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chaque mot dans tes lettres portait la trace. On sentait que tu contenais les frémissements de ton être, que tu te retenais pour ne pas laisser déborder ta douleur, — et dans un effort de ton cœur aimant et dévoué, tu trouvais encore la force de me crier: Oh ! je suis forte ! |
chaque mot dans tes lettres portait la trace. On sentait que tu contenais les frémissements de ton être, que tu te retenais pour ne pas laisser déborder ta douleur, — et dans un effort de ton cœur aimant et dévoué, tu trouvais encore la force de me crier : Oh ! je suis forte ! |
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Oui, sois forte, car il le faut. |
Oui, sois forte, car il le faut. |