Rondeaux, Texte établi par Maurice RoyFirmin Didot (p. 172).


XLV


Souffise vous bel accueil,
Sire, trop me requérez[1],
Tout perdrez se tout querez.

Plus donner je ne vous vueil[2]
A pesent, mais espérez,
Souffise vous bel accueil.

Toudis plus que je ne sueil[3]
Vous donne, et plus acquérez[4]
Et tant plus me surquerez,[5]
Souffise vous bel accueil.

  1. XLV. — 2 A2 Trop de choses r.
  2. — 4 A2 B Car p. d. ne v. v. — 4 A1 je ne v. quier.
  3. — 7 A2 Mieulx vous tais q. — B Et t. p. q. ne s.
  4. — 8 A2 Mais tant p. y a.
  5. — 9 A2 Et t. p. me requérez — B Et de t. p. me querez