De tel dueil m’avez rempli, Dame, par vostre reffus[1] Qu’oncques plus dolent ne fus.[2]
Mis m’avez en si dur pli[3] Qu’enroiddis suis comme uns fus, De tel dueil m’avez rempli. Que m’occiez vous suppli,[4] Car de mère mar nés fus,[5] Nul de moy n’est plus confus,[6] De tel dueil m’avez rempli.