Rondeaux, Texte établi par Maurice RoyFirmin Didot (p. 153).


X


Puis qu’Amours le te consent,
Par qui as empris l’emprise,
Amis, dont tu m’as surprise,
Mon cuer aussi s’i assent.

Mon vouloir du tout descent[1]
A toy amer sanz faintise,
Puis qu’Amours le te consent.

Si n’a il pas un en cent
Dont Amours m’eust ainsi prise ;
Mais quant c’est par ta maistrise[2]
Ne te doy estre nuisant,[3]
Puis qu’Amours le te consent.

  1. X. — 5 B M. cuer encline et descent
  2. — 10 M. q. c’est pour sa m.
  3. — 11 A1 e. musent.