Rondeaux, Texte établi par Maurice RoyFirmin Didot (p. 177).


LII


Il me tarde que lundi viengne
Car mon ami doy veoir lors.[1]
A fin qu’entre mes bras le tiengne
Il me tarde que lundi viengne.

Si lui pri qu’il lui en souviengne ;
Car pour veoir son gentil corps
Il me tarde que lundi viengne.

  1. LII. — 2 A1 c. m. a. doit venir l.