Quand tu me vois, tu dis soudain

Seconde partie des Muses françoises, Texte établi par Despinelle, chez Matthieu Guillemot (p. 253).


EPIGRAMME.

Qvand tu me vois, tu dis ſoudain,
Ma foi, voſtre Maiſtreſſe eſt priſe,
Vous la perdez pour tout certain !
Tu te trompes c’eſt un grand gain
De perdre telle marchandiſe.


A. D. V.