La figure 2 de la planche VII, qui est empruntée sans aucun changement à son ouvrage, permet d’en juger par la comparaison avec la figure i représentant la flexion correcte.
La figure de la planche VIII, extraite d’un récent ouvrage, montre comment on est arrivé à exagérer tous les défauts de la mauvaise flexion de Baucher. Tête basse, loin du centre de gravité, en deçà de la verticale, cheval sur les épaules, prêt à l’encapuchonnement, mâchoire contractée, action du mors s’exerçant de haut en bas et par conséquent faussée.
Rien ne manque au tableau !
Pour savoir ce qu’on doit rechercher dans la flexion directe, il suffit d’obtenir précisément le contraire de toutes ces conditions.