Traduction par Charles Héguin de Guerle.
Poésies de CatullePanckoucke (p. 83-85).

LX.


Cœur de fer, est-ce une lionne de Libye, est-ce la féroce Scylla, dont une meute aboyante forme la ceinture, qui t’a donné, avec le jour, cette insensibilité cruelle et barbare qui te fait dédaigner la voix suppliante d’un ami réduit au dernier degré du malheur ?