Traduction par Charles Héguin de Guerle.
Poésies de CatullePanckoucke (p. 77).

LIV.

À CÉSAR.


Libertin grossier, si tout dans tes mignons ne te déplaît pas, je voudrais, du moins, que toi et Fuffitius, ce vieux débauché, vous eussiez assez de goût pour être dégoûtés de la tête de fuseau d’Othon, des sales jambes de Vettius, et des exhalaisons traîtresses que laisse échapper Libon. Héros sans pareil, excuse donc mes ïambes, si, sans le vouloir, ils excitent de nouveau ton courroux.