Traduction par Charles Héguin de Guerle.
Poésies de CatullePanckoucke (p. 71).

XLVIII.

À JUVENTIUS.


Ah ! s’il m’était donné, Juventius, de baiser sans cesse tes yeux si doux, trois cent mille baisers ne pourraient assouvir mon amour ; que dis-je ? fussent-ils plus nombreux que les épis mûrs de la moisson, ce serait encore trop peu de baisers.