Poésies (Mallarmé, 1914, 8e éd.)/Le Marchand d’ail et d’oignons

PoésiesNouvelle Revue française (p. 108).


IV


Le Marchand d’ail et d’oignons


L’ennui d’aller en visite
Avec l’ail nous l’éloignons.
L’élégie au pleur hésite
Peu si je fends des oignons.