Entends les pompes qui font Le cri des chats.
Des sifflets viennent et vont Comme en pourchas.
Ah ! dans ces tristes décors
Les Déjàs sont les Encors !
Ô les vagues Angélus ! (Qui viennent d’où ?)
Vois s’allumer les Saluts Du fond d’un trou.
Ah, dans ces mornes séjours
Les Jamais sont les Toujours !
Quels rêves épouvantés, Vous, grands murs blancs !
Que de sanglots répétés, Fous ou dolents !
Ah, dans ces piteux retraits
Les Toujours sont les Jamais !
Tu meurs doucereusement, Obscurément,
Sans qu’on veille, ô cœur aimant. Sans testament !
Ah, dans ces deuils sans rachats
Les Encors sont les Déjàs !