Page:Zorrilla - Don Juan Tenorio, trad. Curzon, 1899.djvu/63

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

DON LUIS

Vous voyez donc que, pour cette fois, Don Juan, la partie est à moi.

DON JUAN

Eh bien, allons !

(Comme ils sortent, une autre ronde les arrête et entre en scène.)


SCÈNE XV

Les mêmes, une ronde.

UN ALGUAZIL (entrant.)

Arrêtez… Don Luis Mejia ?

DON LUIS

C’est moi.

L’ALGUAZIL

Je vous arrête.

DON LUIS

Je rêve !… Moi arrêté !

DON JUAN (partant d’un éclat de rire.)

Ah ! ah ! ah ! ah ! Mejia, ne vous étonnez pas, car, en considération de l’objet du pari,