Page:Zorrilla - Don Juan Tenorio, trad. Curzon, 1899.djvu/25

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

BUTTARELLI

Mais…

DON JUAN

Chut !… Adieu.


SCÈNE III


BUTTARELLI

Sainte Madone ! Mejia et Tenorio sont de retour sans doute… et tous deux garderont la parole donnée. Oui ! oui ! : cet homme m’a tout l’air de savoir cela à fond. (Bruit au dehors.) Mais qu’est ceci ? (Il va à la porte.)

Allons ! L’étranger est à se quereller sur la place ! Dieu m’assiste ! quel tumulte ! Comme la foule s’attroupe autour de lui, et comme il lui tient tête à lui seul !… Bon ! quelle bagarre ! comme ils courent devant lui ! Il n’y a pas de doute, ils sont tous les deux en Castille, et voici déjà Séville toute en révolution ! — Miguel !