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la cape et l’épée. Foi de gentilhomme, il me paraîtrait dur d’en revenir à la simple paie d’officier…

Le Baron D’ORSEC.

Aussi votre prudence, dit-on, a pourvu à l’avenir…

Le Vicomte de SABAR.

Vous croyez !… Je disais donc que, pour vous mettre à l’abri des caprices du sort, il vous faudrait faire un bon mariage.

Le Baron D’ORSEC.

Ma santé, mes goûts, Vicomte, ne s’accordent guère avec vos vues. Je ne vous en remercie pas moins de votre zèle. Vous le savez, mon ami, j’ai vaincu sans femme ; je puis vivre de même.

Le Vicomte de SABAR.

Quelle simplicité ! je vous donne une