Page:Zoloé et ses deux acolythes, 1800.djvu/20

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
x


ne te le pardonnerai jamais. — Soit. Signons la paix ; et elle embrasse Zoloé.

Pourrait-on, du moins, savoir, ma belle, à quoi attribuer cet air noir et soucieux que ma présence même n’a pu dissiper ? Le voilà, répond Zoloé en montrant un mince volume ; voilà le serpent qui m’a piqué au vif. Maudit soit le vil délateur qui a osé révéler aux yeux d’un vulgaire profane les secrets mystères de notre confédération !

Lauréda, d’un leste coup-de-main, se saisit de la brochure. Est-il possible, Zoloé ? quoi !