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éprouve à son tour la rage du désespoir.
Son amour propre lui avait fait
inventer ces moyens de terreur. Il ne
voulait qu’effrayer sa maîtresse ; et il
l’a tuée. Ô qui pourrait décrire ce qui
se passe dans son cœur ? L’enfer s’en
est emparé et y exerce tous les supplices.
Il vomit mille imprécations
contre lui-même. Il appèle à son secours.
L’écho seul de ces profondeurs
lui répond et ajoute aux horreurs dont
il est environné.
Cependant il approche une main tremblante, il la porte sur le cœur de Volsange ; il croit y sentir un reste de chaleur et un léger mouvement. Encouragé par une lueur d’espérance, il se hâte de la tirer de ce funeste lieu ; il charge sur ses épaules ce précieux fardeau, et va le déposer,
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