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contre l’anglomanie. Elle réduit en poudre tous ces pompeux galimatias d’invraisemblances, entassés dans les romans modernes, resassés sans cesse et travestis par nos auteurs d’un jour. Ces tours, ces souterrains, ces descriptions hideuses, ces tourmens qui n’ont jamais existé que dans les cervelles dérangées des romanciers, lui paraissent autant d’insultes faites au bon sens. Forbess soutient l’honneur de la littérature anglaise, il a pour lui l’opinion de Zoloé et celle de Lauréda. Guilelmi et Fernance se renferment dans la neutralité. L’amour propre de Milord est atteint au vif. Il promet de s’en venger, et il tient parole.

On se rappèle que son habitation fut jadis un couvent. Or dans ce couvent,