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dernière consolation me reste. Je suis l’hiver glacé, mais je sens en moi tressaillir le printemps prochain. Mon oncle Lazare le disait : nous ne mourons jamais. J’ai eu les quatre saisons, et voilà que je reviens au printemps, voilà que ma chère Marie recommence les éternelles joies et les éternelles douleurs.



FIN