Page:Zola - La Faute de l'abbé Mouret.djvu/267

Cette page a été validée par deux contributeurs.
267
LA FAUTE DE L’ABBÉ MOURET.

des nuages pâmés, d’où tombait un ravissement surhumain. Et c’était une victoire pour les bêtes, les plantes, les choses, qui avaient voulu l’entrée de ces deux enfants dans l’éternité de la vie. Le parc applaudissait formidablement.