Page:Zola - La Faute de l'abbé Mouret.djvu/179

Cette page a été validée par deux contributeurs.
179
LA FAUTE DE L’ABBÉ MOURET.

à poignée, avec une maladresse charmante, et planta le peigne de travers, dans l’énorme chignon tassé sur la tête. Or, il arriva qu’elle était adorablement coiffée. Il se leva ensuite, lui tendit les mains, la soutint à la taille pour qu’elle se mît debout. Tous deux souriaient toujours, sans parler. Doucement, ils s’en allèrent par le sentier.