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Le cas du Chien


Peu s’en est fallu que le commissariat de Clichy, ce local policier qui servit de cadre à de féroces et légendaires passages-à-tabac, ne finît dans une apothéose de dynamite.

Deux mignonnettes bombes de cuivre rouge avaient été déposées dans un couloir conduisant au bureau du commissaire, les mèches avaient été allumées… Tout allait pour le mieux au point de vue spécial du dépositaire arguant de la purification des lieux, lorsqu’un chien, le chien du chien du commissaire s’aperçut de l’éclairage a giorno et se mit à donner de la voix. C’est ainsi que retentit l’alarme. Il aboya, il aboya et quelqu’un vint assez à temps pour éteindre l’illumination menaçante.