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C’est seulement à ces traîneurs de sabre qui prétendent, par tous moyens, poétiser l’avilissant métier des armes, que l’on serait tenté de rappeler rudement la Fille du Régiment.

De fait, les tristes amants de Suzanne sont à jamais terrassés. Disons-le : ils sont à plaindre.

Nous ne les accablerons pas.

Et, tout au plus sourirons-nous, quand les flambards et les casseurs viendront encore nous parler de trous de balle dans le drapeau.