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L’UTILE COUTEAU


Il y avait à bord du « Pandora » une quinzaine d’Italiens se rendant aux mines du Laurium. Pour éviter, à Venise, d’interminables formalités et même des difficultés notoires, étant donné que quelques-uns n’avaient pas encore fait leur service militaire, ils étaient venus s’embarquer à Trieste.

Nous fîmes bientôt connaissance.

Le bateau de la Compagnie du Lloyd autrichien nous conduisait jusqu’à Patras, à la pointe est du Péloponnèse ; de là les émigrants