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Où que l’on projette une lumière, il y a de la honte et du sang. C’est la caserne et c’est la geôle, c’est l’atelier, c’est l’usine ; des balles pour les jeunes soldats, le joug de la misère pour le peuple, la torture pour les petits des hommes…

On s’occupe d’Aniane, passons. Demain nous parlerons d’autre chose.












Note de l’Éditeur. — Afin de donner quelque idée de l’intense émotion qui fit écho à ces révélations tragiques, il suffira de citer ce début d’un article de Gustave Geffroy :

« Ce doux nom d’Aniane ! Zo d’Axa l’a biffé de sa plume énergique. Il en a fait le Biribi des gosses. L’affreuse enseigne