pons. 2o v. pron. Se cramponner, s’accrocher (Buc).
Ècrasse [ękras M, ękrǫs I], s. f. — Béquille. Voir Crasse.
Ècrāyeu [ękrǟyœ̨.. M, N, S, ękrāyę.. I, P, V, akrāyi F], adj. — Écarquillé. Se dit des yeux.
Ècrehaler [ękrȩhalēⁱ.. M, N, ękręhǫlę I, P, ękręhalę.. S], v. tr. — 1o Accrocher ; suspendre dans un endroit difficile à atteindre. 2o part. passé : Enchevêtré S. Voir Ancrehalé.
Ècreuche [ękrœ̨s̆ Gorze], s. f. — Obstacle.
Ècreupḕⁱ, voir Ècreupsieu.
Ècreupsieu (s’) [ękrœ̨psyœ̨ M, N, ękrœ̨psyę I, ękrœ̨pę̄ⁱ-ękrœ̨psyę P, akrupsi, ękrœ̨psi S], v. pron. — S’accroupir.
Ècreūre [ękrœ̄r M, I, P, N, akrœ̄r F, (r)akrōr S], v. tr. — Accroire. Usité seulement à l’infinitif avec Fāre. I s’an fāt ~, il s’en fait a.
Ècrīre [ękrīr.. gén.], v. tr. — Écrire.
Ècrit [ękri gén.], s. m. — Écrit ; certificat ; contrat ; promesse par écrit. Lés ~, ç’at dés māles, lés pèrales, ç’at dés femèles, les é., c’est des mâles, les paroles, c’est des femelles. Èva lés jans qu’ sont francs, an n’ont m’ b’san d’ ~, avec les gens qui sont francs, on n’a pas besoin d’é.
Ècritōle, Ècritoūle [ękritūl M, I, P, ękritōᵘl-ękritūl N, ękritōl S, V], s. m. — Écritoire ; encrier. Voir Ancritoūle.
Ècrivou [ękrivu M, I], s. m. — Clerc de notaire, d’avocat, d’huissier ; comptable. On dit aussi souvent Ècrivin.
Ècriyeu [ękriyœ̨.. M, I, P, ękriyēr-ękriyœ̨ N], s. m. — Écureuil. Voir Ècuron.
Ècriyḗr’, voir Ècriyeu.
Ècroche, voir Ècrache.
Ècrochè, voir Ècracheu.
Ècrolu [ękrǫlü Rombas], s. m. — Endroit marécageux. Voir Cralu.
Ècroumi [ękrumi M, I, N], s. m. — Dormeur ; se dit de quelqu’un qui se réveille difficilement. Ranvaye to, vieus ~, réveille-toi, vieux dormeur.
Ècul [ękü M, I], s. m. — Impasse, cul-de-sac.
Ècūle [ękǖl S], s. f. — Écuelle. Voir Cwḗle.
Ècureu, voir Ècuron.
Ècuron [ękürõ-akœ̨rõ F, ękürõ N, ękürœ̨ Juvelise, ękürõ-ęts̆ürõ-ętyürõ S, ękurõ V], s. m. — Écureuil. Voir Ècriyeu.
Ècūsète [ękǖzęt M, I], s. f. — Accusation ; dénonciation ; rapportage.
Ècwāhieu [ękwǟγyœ̨.. M, N, ękwāγyę I, P], v. tr. — Apaiser.
Ècwahieu [ękwǟγyœ̨ N], v. tr. — Encroiser. Voir Ancwāhieu.
Ècwājieu, voir Ècwāhieu.
Ècwāler (s’) [ękwǟlēⁱ.. M, N, ękwālę.. I, P, V], v. pron. — 1o S’étendre de son long en tombant. 2o Se dit de l’oiseau qui s’accroupit sur le sol en étendant ses ailes pour se cacher V.
Ècwinssier (s’) [ękwẽsi S, ękwẽsye, -yœ V], v. pron. — 1o S’accroupir. ~ dḗrié ène hāye, s’accroupir derrière une haie V. 2o Être au guet.
Ècwintance [ękwẽtãs M, I, P], s. f. — Liaison d’amitié.
Ècwintieu [ękwẽtyœ̨.. gén. (akwẽtyi-ękwẽtyi S)], v. tr. — 1o Familiariser ; apprivoiser. Se dit souvent des poules qu’on habitue à rester au poulailler. 2o v. pron. Se lier intimement. Se dit surtout dans un sens érotique.
Èdalé [ędälēⁱ.. M, N], adj. — Malingre. Se dit des enfants.
Èdèhi (s’) [ędęγi S, ędǫjye, -yœ V], v. pron. — S’attarder. — Part. pass. : En retard.
Èdèlè [ędęlę V], conj. — Néanmoins. Voir Dalè.