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cœur bat, elle n’a plus la force d’avancer ; il y a sur le bord du chemin une hale, et au pied de la haie un talus gazonné et moussu ; c’est là
qu’elle se laisse choir, n’ayant plus qu’une force, celle de déchirer avec l’épingle de son châle le fragile papier…, trop fragile, hélas ! qui voilait les confidences de Mme Béatrix.
Et maintenant, les lunettes sur le nez, fié-