Page:Yourcenar - Le Jardin des chimères.djvu/123

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Le char plonge dans l’eau sonore. La nuit monte, limpide et froide, illuminée par d’innombrables étoiles qui s’allument l’une après l’autre sur la mer apaisée où se dédoublent leurs flammes. Tout est silencieux et tout semble éternel…


FIN