Ce doit être une obscénité. Cachez vite ça.
— Jamais de la vie, regimba Maugis. C’est quelque chose d’adorable. Une affiche de chirurgien-barbier d’il y a cent ans. Anatole France, qui tient le développement comme personne, délayerait ça en trois volumes, au moins.
Un silence (le temps de changer de voix), et il lut :
— « Isaac Macaire, barbier-perruquier, chirurgien, clerc de la paroisse, mestre d’école, maréchal et accoucheur. Rase pour un sout, coupe les cheveux pour deux sous et poudre pommade par-dessus le marché, les jeunes demoiselles joliment élevées…
— Les futures femmes du monde, dit Lernould.
Maugis poursuivit :
« Il enseigne les droits de l’homme aux jeunes filles, pin les ansaignes de boutike et les épitafes de maison national républiquaines à vendre, fait et racommode aussi les bottes et les souliers, enseigne le hautbois et la guimbarde, coupe les cors… »
— Si nous dansions ? essaya d’interrompre