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brasser son beau-frère, tombe sur lui comme une masse.

— Ah ! mon bougre ! Ah ! Ah ! mon bon bougre ! Tu peux être tranquille. Je te crois que je vas t’en ficher de l’argent… et tu ne l’auras pas volé ! Répète-le, je t’en prie, que… prr ! prr !

Dernier geste à la Karagheuz. Et Lauban, étouffé, écrasé par Renard, se débat (en vain) et soupire :

— Oui, j’ai fait cocu le prince Jean… T’es lourd.