rhume ?) que, conséquemment, il n’a rien à redouter.
— Eh bien, alors, viens, tête à poil.
— C’est une idée.
Et Renard, impétueux, aggripe le bras de son beau-frère. Naturellement, en quittant le trottoir, il met le pied dans le ruisseau. Flac ! Ça fait : Flac ! Et voilà tout. Rien de plus simple. Et pourtant…
— Fichtre ! glapit Maurice. Cent mille excréments ! comme tu dis, fais donc un peu attention, Trou-de-balle ! Je n’exerce pas la profession de potard, moi. Je ne gagne pas des ors. Je ne possède que cette culotte.
Et, monté comme un tourne-broche, il grince jusqu’au café.
— Moi, ce sera une gentiane, lance Renard.
— T’en as des goûts !
— Je vas t’expliquer. Une gentiane, c’est…
— M’enfiche… Garçon, donnez-moi glace pilée, siphon, chalumeau… un kummel à la framboise. Avec des cigarettes bastos !
Sans attendre les bastos de son beau-frère (qu’il paiera, comme de juste) Renard atteint