— À midi, fait le poète.
Et la tenture retombe.
— Maintenant, annonce Renard en reprenant le pied de billard, nous allons…
— Nous allons au café.
— Tu supposes que…
— J’en suis sûr, Trou-de-balle. Mets ton pétase.
Trou-de-balle a-t-il compris ? Il coule des regards attendris sur les morceaux de palissandre, ensuite sur le tiroir où il a placé ses cordes. Oui, c’est indubitable, il y a placé ses cordes. Mais son pétase ?… (Il a tout de même compris).
— Où est mon casque ?
Il appelle :
— Monsieur Beigdebez, mon chapeau !
On cherche, on fouille. Renard retourne ses poches. Impossible de trouver le couvre-chef de Renard.
— Que de temps perdu ! s’énerve Maurice. Tu crains le coryza ?
Trou-de-balle signifie qu’il détient, en sa boutique, des remèdes contre tous les maux (qu’est-ce qu’il ne prendrait pas pour son