détails. Tu réfléchiras, tu feras comme pour toi, si tu te trouvais dans la circonstance particulière où je me trouve. Et je suis sûr qu’il ira bien, ce caleçon de malheur… Un peu moins étoffé que pour toi, par exemple. Vous voyez, Gaby, j’ai moins de formes que lui… Sur ce, merci, mon vieux. Merci, Gaby. Je me défile.
— Tu te défileras tantôt. Reste à déjeuner.
— Impossible. Une autre fois… Aujourd’hui, j’ai à faire des tas de choses. Tu ne te figures pas !
— Je les devine : tu as à passer chez le coiffeur… Taille, shampoing, friction… tout le grand jeu.
— Tu as aussi à prendre un bain. Un chic. Tu demanderas le plus chic ? s’pas ?… ce qu’on fait de mieux dans ce genre.
— Tu as également deviné.
Poignée de mains à Smiley. Baiser à la naissance des longs cheveux de Gabrielle, et il part.
Tout de suite, la rousse maîtresse de Smiley jette passionnément ses deux bras autour du cou de son seigneur :