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    venant de la mer, comme le matin avec des lèvres rouges murmurant un
      chant,
    ne toussant pas, ma tête sur les genoux, et priant, et irrité contre
      les cloches,
    je ne laisserais à aucun saint sa tête sur son corps, lors même que ses
      terres seraient grandes et fortes.

    M’éloignant des houles qui s’allumaient, je suivis un sentier de
      cheval,
    m’étonnant beaucoup de voir de tous côtés, faites de roseaux et de
      charpentes
    des églises surmontées d’une cloche, et le cairn sacré et la terre
      sans gardiens,
    et une petite et faible populace courbée, le pic et la bêche à la main.

Dans un ou deux endroits, la mélodie est fautive, la construction est parfois trop embrouillée, et le mot de populace du dernier vers est mal choisi, mais quand tout cela est dit, il est impossible de ne pas sentir dans ces stances la présence du véritable esprit poétique.

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Une jeune dame, qui vise à « un chant qui surpasse le sens » et tente de reproduire le système de vers de Browning pour notre édification, paraîtra peut-être dans un état d’esprit inquiétant.

Mais l’œuvre de Miss Caroline Fitz Gerald vaut mieux que sa tendance.

Venetia Victrix est un beau poème à plus d’un point de vue.

L’histoire est étrange.