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on venait à en douter de ce côté-ci de la Manche.


C’est donc aux Français qu’on propose ces doutes tels qu’ils furent suggérés, c’est d’eux seuls qu’on peut raisonnablement exiger des preuves capables de satisfaire pleinement un Anglais, des preuves en un mot qui sympathisent en tout avec les principes du doute vraiment philosophique.


À peine croyons-nous nécessaire d’inviter le lecteur à ne jamais perdre de vue que dans tout ce qui suit, c’est un Anglais qui s’adresse à sa nation, et que la première édition en fut publiée et